J'aime beaucoup ces perles. Les contemporaines rivalisent avec les plus anciennes. Je crois que, si j'avais été au Japon, je n'aurais pas pu résister à la tentation d'en acheter. Votre idée d'en mettre une seule dans un collier me paraît excellente: ainsi, elle doit être particulièrement mise en valeur. Anne
Anne, c'est comme à Venise, les dessins sont traditionnels, si la perle ancienne n'a pas roulé sa bosse, il est difficile de savoir si la perle est ancienne ou non. A part pour ce dessin à petites fleurs, vénitien, Les anciennes sont plus * fouillées* plus élaborées. ma tante de Paris m'avait envoyé le bracelet de sa jeunesse... ( dans une enveloppe...pas de casse,l faut croire que le verre était de meilleur qualité que celui de maintenant ). Plus le temps de s'appliquer.
Dommage pour ces perles plus petites,il y aurait sûrement une clientèle qui toutes n'aiment pas précisément les grosses au centre, j'aime beaucoup les couleurs de ces petites, ma foi tant pis. martine
J'aime beaucoup ces perles. Les contemporaines rivalisent avec les plus anciennes. Je crois que, si j'avais été au Japon, je n'aurais pas pu résister à la tentation d'en acheter. Votre idée d'en mettre une seule dans un collier me paraît excellente: ainsi, elle doit être particulièrement mise en valeur.
RépondreSupprimerAnne
Anne,
RépondreSupprimerc'est comme à Venise, les dessins sont traditionnels, si la perle ancienne n'a pas roulé sa bosse, il est difficile de savoir si la perle est ancienne ou non. A part pour ce dessin à petites fleurs, vénitien, Les anciennes sont plus * fouillées* plus élaborées. ma tante de Paris m'avait envoyé le bracelet de sa jeunesse... ( dans une enveloppe...pas de casse,l faut croire que le verre était de meilleur qualité que celui de maintenant ). Plus le temps de s'appliquer.
Merci Béatrice de nous montrer toutes ces beautés, merci.
RépondreSupprimerA bientôt
Dommage pour ces perles plus petites,il y aurait sûrement une clientèle qui toutes n'aiment pas précisément les grosses au centre, j'aime beaucoup les couleurs de ces petites, ma foi tant pis. martine
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